Passeport pour l'asile
Dans cette improbable fantaisie épistolaire, Georgie de Saint-Maur, comme à son habitude, prend le lecteur de court : de quoi au juste parlent les différents protagonistes ? Doit-on vraiment les prendre au sérieux ? Où veulent-ils en venir ? Qu’est-ce qui cloche chez eux ? Étourdi de questions, le lecteur aura une semaine pour s’en remettre, jusqu’au mercredi suivant et au prochain épisode de ce feuilleton loufoque et azimuté.
« Ainsi donc, je n’aurais été que ce système digestif que rien ne différencie des autres ?
Mes oeuvres n’auront ni changé le monde, ni servi à la grandeur de l’humanité ? »