Jacques Cauda
Écrivain, peintre, photographe et réalisateur de films documentaires, Jacques Cauda doit autant à l’écriture qu’à sa pratique de l’image. Au début des années 2000, il crée le mouvement surfiguratif. Surfigurer, c’est prendre pour objet des sensations dont la source n’est plus le réel mais sa représentation rétinienne. Le monde est devenu une image et le peindre, c’est réécrire cette image. Et vice versa, son œuvre littéraire est toujours une promesse de peinture.
Publié dans L’Angoisse, Décapage, La Nef des Fous, La Vénus Littéraire, L’Être, Syncope (illustration), Syndrom, Le Partage des mots, États Civils, Squeeze, Traction Brabant (poèmes), Népenthès (aphorismes), pastiches.net (pastiches de Baudelaire et Céline), Bloganozart (article).
Parutions :
Vers un effort visible, poésie, L’Échappée, 2002
Toute la lumière sur la figure, essai, éditions Ex aequo, 2009
Vox imago, roman, éditions Praelego, 2010
Le bonheur du mal, poésie, éditions Kirographaires, 2012
Ce jour-là, nouvelle, éditions Sky Prods, 2012
Triniter, roman publié en 4 livraisons, revue L’Angoisse, 2012/2013
Je est un peintre, poèmes, éditions Jacques Flament, 2012
Lou, nouvelle, premier prix de la ville du Pecq, 2011
Site : http://jacquescauda.ultra-book.com/
Blog : http://jacquescauda.canalblog.com/
Interview : http://www.artactif.com/fr/surfiguratif.php
Nouvelles publiées sur le site
Boléro
Fatum
Textes publiés dans la revue
Écrire pour l'oubli (L'Ampoule n°3, p.101-104)
La Dive Machine (L'Ampoule n°6, p.78-79)
Nuages d'en bas (L'Ampoule n°8, p.19-20)
Fai
, p.74)
Illustrations publiées dans la revue
L'oubli (L'Ampoule n°3)
La porte (L'Ampoule n°4)
Singe soldat (L'Ampoule n°5)
Voyage en soi (L'Ampoule n°9)