Fantasmagories de Marianne Desroziers

Publié le

Contes fantastiques, 132 pages
ISBN : 979-10-90106-49-9 

Format 20 x 13 cm, imprimé en France
 

Couverture : Les entraves par Victor Soren


Le retour dans la maison natale, le monde secret des garçons perdus, une vie souterraine à la beauté terrifiante, la frontière indicible séparant le territoire des vivants et celui des morts, des aventures de jeunesse héroïques et les solitudes inexprimables qui les côtoient : autant de scènes ressuscitant « l’art de faire parler les fantômes » pour former ces contes sombres et envoûtants, quinze histoires intemporelles d’enfants terribles que rien ne peut arrêter.
À travers la vivacité des premiers rêves, les souvenirs sensitifs et les silhouettes dessinées dans la lumière incertaine des lanternes magiques, ces nouvelles font la part belle à la puissance de l’imaginaire, en invoquant la poésie noire propre aux aspirations et aux cauchemars de l’enfance. Graves et merveilleux, ces récits nous incitent à gratter la surface grise du quotidien pour découvrir la force inouïe des sentiments qu’elle recèle, pareille au feu qui rougeoie sous la cendre.

 


Format papier - 12 euros
 
Format numérique - 4 euros


« Fantasmagories est un recueil de quinze nouvelles abouties, sombres et cruelles parfois. Avec un style particulier, onirique et puissant, Marianne Desroziers dépeint les mille facettes de l'enfance avec sensibilité et par le biais du fantastique. » (Nathalie Z., Sci-Fi Universe)

 

« La magie existe pourtant, et les mots de Marianne Desroziers nous le rappellent. Ne pas tout expliquer, ressentir, laisser parler nos émotions, voilà un peu de la morale de ces histoires frappantes qu’il convient de savourer en ouvrant grand notre esprit. » (Litzic)
 

« Sur les falaises de Látrabjarg est de loin la nouvelle la plus aboutie de ce recueil. Un recueil qui, au final, recèle des petites perles tant la réalité est plus cruelle que l’imaginaire. » (Justin Hurle, Kulturopat)

 

« Un monde vraiment très riche, très luxuriant, que Marianne Desroziers nous invite à découvrir, avec au-dessus d’elle Hans Christian Andersen et tout cet univers des contes qui est ici réapproprié par Marianne Desroziers […], traité aussi avec ce contraste entre le noir et la flamme. » (Nikola Delescluse, Paludes 863)

« Il existe tout une féérie dans l’écriture métaphorique de Marianne Desroziers. Elle arrive à saisir le moindre moment où les barrières tombent, où la vie se met à vibrer intensément, plongeant le lecteur dans la cauchemardesque beauté du fantastique et de l’émotion, élément catalyseur de la vie et de l’imaginaire enfantin. » (Annie Forest-Abou Mansour, L’écritoire des muses)

« Ce recueil de contes noirs et flamboyants est en effet un livre-passage à bien des niveaux. Passage de l’enfance à l’adolescence, passage de l’adolescence au monde adulte, passage du monde humain au monde animal, voire à celui des éléments, du rêve au réel, de la souffrance à la délivrance, de l’innocence au crime, du monde des vivants à celui des morts, en laissant toujours, telle la veilleuse de nos jeunes nuits, la porte entrouverte – titre du récit d’ouverture. » (Patricia Houéfa Grange, Papillons de mots)