L'Ampoule Hors-série n°1

Publié le

Revue littéraire illustrée, 78 pages
Épuisé au format papier.
ISBN : 979-10-90106-42-0
ISSN : 2271 - 1376
Format A4, reliure dos carré collé, papier 130 gr couché mat

 

Couverture : Illustration originale par Hugues Breton


Ce premier numéro hors-série en version papier de notre revue L’Ampoule réunit 19 textes sombres et étonnants, accompagnés par 27 illustrations et photographies en noir et blanc.

Figurent au sommaire les contributions de Murielle Belin, Nathalie Berthod, Lauren Bourguignon, Hugues Breton, Serge Cazenave-Sarkis, Sébastien Chagny, Thierry Fiquemont, K. von Gella, Laurent Gonzales, Cédric Harlé, Louise Imagine, Gilbert K., Christophe Lartas, Le Golvan, Yves Letort, Frédérique Longrée, Jean-Michel Maubert, Jeanne Ménétrier, Denis Moreau, Benoît Patris, Georgie de Saint-Maur, Patrick Sirot, Victor Soren, Alissa Thor et Elise Vincent.

La nouvelle de Christophe Lartas Économie de marché ouvrant ce numéro est à lire en version numérique sur le site Les Corps Célestes.

 

Édito (par Marianne Desroziers)          Sommaire (illustré par Patrick Sirot)
 

 

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S
beau blog. un plaisir de venir flâner sur vos pages. une belle découverte. un blog très intéressant. J'aime beaucoup. je reviendrai. N'hésitez pas à visiter mon blog (lien sur pseudo). au plaisir
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Il n'y a pas de version électronique à télécharger pour celui-ci?
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E
Pas encore, mais la version numérique sera mise en ligne prochainement...
A
beau blog. un plaisir de venir flâner sur vos pages. un enchantement. je reviendrai
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S
Bon! Me voilà rassuré: le contenu vaut le contenant! Pour un tel contenant d’une plastique aussi apollinienne, il fallait un contenu proportionnellement dionysiaque : c’est fait ! La plupart des écrivains choisis distillent bien leur style, cherchent les tropes mais pas trop, et remotivent les plus éculés leitmotivs. L'ensemble laisse une impression eidétique et poétique, aux cinquante nuances de noirs, qui va droit dans l’âme. Je pourrais distribuer des bons points ou des coups de poing par-ci par-là, des haros ou des bravos, mais je sais mon opinion si négligeable que je n'en ai pas la force. Je préfère proférer un grand « merci ! », plein de ma maigre chaleur humaine, à l'adresse du collectif des écrivains de l’Ampoule, et de deux particuliers, deux modestes dei ex machina, aussi génésiaques que Kronos et Rhéa, qui ont engendré et pris sous leur abat-jour une lignée d'écrivains improbables : Marianne et Franck!
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B
J’ai vu des bébés et des poupées. Des enfants très inquiets. Des hommes courbés, des femmes masquées ou déjà évaporées. Des spectres, aussi. Je ne savais pas qu’ils étaient là…<br /> <br /> J’ai entendu des mémoires sylvestres, des pépiements d’hirondelles, observé petites mains et picadors, lu des lettres destinées à faire siffler certaines oreilles. Et assisté à un accouchement très vianesque…<br /> <br /> J’ai battu la campagne, étudié des villes futures, observé des tableaux jusqu’à m’y fondre, accédé à une bibliothèque labyrinthique dont les ouvrages pouvaient être morts, ou empoisonnés…<br /> <br /> Je me suis lu du bout des cils, ai repéré quelques insectes et bien plus de mains, et me suis renseigné sur des vies tenant en 200 caractères…<br /> <br /> J’étais ici et ailleurs, j’ai appris des mots, vu de nombreux univers, et beaucoup de choses ont intégré et nourri mon subconscient…<br /> <br /> J’ai refermé la revue, éteint la lumière, mais ce n’était pas fini. Cela s’est prolongé jusque dans mes rêves, où les mots et les images ont prolongé leur existence, comme s’échappant des pages et s’offrant une nouvelle vie, volant de leurs propres ailes…<br /> <br /> Pour tout cela, je tiens à remercier Marianne et Franck et à féliciter tous ceux qui ont contribué à ce premier hors-série de L’Ampoule.
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