Douze heurts par Joe Zerbib
« Bip bip. Il y a d’abord ce jeune homme dont on ignore le nom. On l’appellera Aldo. Sa montre à affichage numérique vient de sonner minuit. On dirait qu’il guette à l’angle de la rue. Il se pourrait qu’Aldo soit là parce qu’il n’a rien d’autre à faire. Ou parce que dans son petit appartement en rez-de-chaussée l’air ne circule pas. »