Inséparables par Stéphane Poirier
Lénora avait été égorgée. Elle gisait sur le flanc droit en chien de fusil et sa joue baignait dans son sang. Un liquide grenat et visqueux répandu sur le carrelage, qui avait dérivé avant de se figer et de commencer à épaissir où le flot d’hémoglobine s’était tari. Étienne s’était tenu près d’elle tout l’après-midi à l’observer. »