J'ai tué Clovis par Serge Cazenave-Sarkis
« …porter l’odeur de son chien sur ses vêtements, c’est un peu comme avoir une deuxième maison !… Enfin, quand on en a déjà une…
J’avais souri. Clovis me regardait fixement. Je m’étais senti obligé d’acquiescer. Satisfait, il s’était retourné et s’était aussitôt remis à redresser les multiples sacs que son tout jeune chien avait mis en désordre, contre les cartons sous lesquels il comptait passer la nuit. Sans chercher à le dissimuler, j’avais tapé mon code et poussé la lourde porte d’entrée. »