Un jeune homme au cœur pur par Lordius

Publié le

« Ma chère tante,
Je viens de recevoir ta lettre qui ne m’a pas causé la vive joie que notre contact épistolaire me procure d’ordinaire : je suis peinée du mal que tu penses d’Albert, après toutes ces années. Tu t’es laissé abuser par la médisance et les racontars des langues de vipère qui abondent au village.
»

 

Commenter cet article