Le chou philosophe par Jean-François Joubert

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« Le parc. Quelques hectares de verdure, des vagues de terre verte, dociles, puisque immobiles, des arbustes qui tissent toiles et délices, des oiseaux qui peuplent nos rêves. Bohars, lieu-dit bien connu des Brestois de souche, à vol d’oiseau à quelques kilomètres de ma mémoire, l’aber ! L’Ildut, bras de rivière, enfance, plaisir de la mer, le port, la vase, les cygnes et la « sorcière », ce rocher qui trône au milieu du port, et sur sa tête des cormorans en attente de tempêtes atlantiques pour sécher leurs plumes ! »
 

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J
<br /> un commentaire qui illustre d'un ton juste mes maux... Merci !<br />
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L
<br /> Une écriture précise et dépouillée tisse le réseau de la folie ordinaire - du vide et de l’ennui - du vol et de la perte de soi. De brusques flambées de vie. Des envies. « Faim ! »<br />
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