La chevalière par Henri Cachau
« Je me console en pensant qu’il s’agit d’une histoire vraie, qu’en terme d’écriture, la meilleure façon de la retranscrire est de ne rien ajouter qui puisse altérer sa vraisemblance : ni superflu, ni redondance émotive ! Ainsi ressortira-t-elle noire de chez noir, comme elle me parut lorsque je me suis décidé d’en assurer sa retranscription… »