Complainte du comateux puant par Céline Mayeur

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« L’endroit le plus confortable que j’eus connu au cours de mon existence froide et fétide fut les plaines indécises du coma. Il faut préciser que je n’avais jamais été heureux. On m’avait prévenu que ma vie serait rude parce que je n’étais pas comme les autres : un peu trop agité, un peu trop excité, un peu trop vivant ! »
 

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