Caresses par Serge Cazenave-Sarkis
« Il n’y a pas de pire souvenir qu’un souvenir interrompu. Refaire le trajet tout seul et revoir le soleil se lever juste pour soi. Se retenir de sourire ― escamoter les jours ― se soustraire au temps qui passe ― compter en larmes en attendant les prochaines comme autant de raisons pour continuer à vivre. Et puis… Et puis c’est demain. Déjà. C’est déjà demain… »