L'Ampoule Hors-série n°2

Publié le

Revue littéraire et graphique, 100 pages.
Épuisé au format papier.
ISBN : 979-10-90106-48-2
ISSN : 2551 - 5772
Format A4, reliure dos carré collé, papier 130 gr couché mat.

 

Couverture : Photographie par Xavier de Bordeaux


Ce nouveau numéro hors-série en version papier de L’Ampoule réunit 21 nouvelles résolument noires, accompagnées de 33 illustrations et photographies en noir et blanc.

Figurent au sommaire les contributions de Charlie Ambrose, Xavier de Bordeaux, Céline Brun-Picard, Sébastien Chagny, Christiania, Maxime Derouen, Damien Desbordes, Marianne Desroziers, Marianne Duforeau, Anne Escaffit, Claire Eustache, Roland Goeller, Olivia HB, Marina Ho, Christophe Lartas, Le Golvan, Armelle Le Golvan, Manuela Legna, Marc Legrand, Yves Letort, Libelloise, Marray, Jean-Michel Maubert, Benoît Patris, Thomas Pourchayre, An Pra, Georgie de Saint-Maur, Jean-Marc Santini, Patrick Sirot, Bruno Toffano, Nathalie Vignal et Yizhu Yao.


La nouvelle de Christophe Lartas La vie après la vie concluant ce numéro est à lire en version numérique sur le site Les Corps Célestes.
 

Édito (par Marianne Desroziers)          Sommaire (ill. Xavier de Bordeaux)

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M
Encore un joli numéro de L'Ampoule que j'ai découvert et dévoré avec grand plaisir. Que dire d'autre ? C'est un bien beau florilège de textes originaux, surprenants, très noirs, parfois, écrits avec soin et qui, les uns les autres, peuvent toucher des publics assez différents. Il y en a vraiment pour tous les goûts.<br /> <br /> A titre purement indicatif et par ordre d'apparition, j'ai davantage remarqué les oeuvres suivantes :<br /> <br /> Contorsions, de Jean-Michel Maubert ;<br /> Les papillons de Marie, de Marianne Desroziers ;<br /> La nuit noire, de Marianne Duforeau ;<br /> La faille, de Benoît Patris ;<br /> L'éloge de la faiblesse, de Nathalie Vignal ;<br /> Examen terminal, de Damien Desbordes ;<br /> Nocturne, de Roland Goeller.<br /> <br /> La nouvelle qui m'a le plus touché, et qui fut pour moi un véritable coup de coeur, est Le conteur errant, de Manuela Legna, qui a su décliner et s'approprier avec art un thème millénaire, c'est le cas de le dire, qui en inspira plus d'un. Voilà un texte savoureux dont je vous recommande vivement la lecture.<br /> <br /> Les illustrations sont particulièrement réussies. Ma gratitude va spécialement à Bruno Toffano, dont l'oeuvre m'a inspiré Bastingage, et à Charlie Ambrose, pour son illustration de ma nouvelle Oppidum.<br /> <br /> Et coup de chapeau final à Franck Joannic et Marianne Desroziers pour leur travail sur ce numéro hors-série de L'Ampoule de toute beauté, tant sur le fond que sur la forme.
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