Sans partage de Serge Cazenave-Sarkis

Publié le

Nouvelles noires, 134 pages
ISBN : 979-10-90106-38-3 
Format 20 x 13 cm, papier bouffant ivoire, imprimé en France

Couverture : Étreinte par Yvon Saillard

Ferdinand a dix-sept ans et n’aspire qu’à vivre auprès de son frère aîné et de sa mère fantasque. C’est sans compter sur son cadet Jean-Jacques, adolescent égotiste dont l’ambition dévorante va conduire tous les membres de sa famille à leur perte. Abandonné à une vie en marge entre Pau et Paris, Ferdinand doit se découvrir lui-même, d’aventures étranges en révélations cruelles. Son seul tort ? Avoir été victime du cynisme de son jeune frère, dont l’arrivisme est guidé par cette unique obsession : être sans partage.

Suivent cinq récits bruts comme autant d’implacables constats : la folie d’un homme devenue remède ultime à la mort ; un amour démesuré qui fait se côtoyer l’adoration et la haine ; un individu simple et désœuvré seul témoin d’un enlèvement ; une farce burlesque emportant deux amis dans une nuit mouvementée ; et la force de l’imaginaire qui fait plier le Temps lui-même.

Contes de la noirceur des âmes, ces six nouvelles, en dépit de leur violence sèche, nous placent aux côtés d’êtres irrémédiablement innocents.


Teasers réalisés par Georges Morel

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Format papier - 13 euros
 
Format numérique - 4 euros



« L’auteur a un grand talent pour mettre en scène ses personnages et raconter ces histoires insolites qu’on a plaisir à lire et relire. Au fil de sa plume, l’étrange devient vraisemblable et on se laisse embarquer sans résister sur les chemins ombragés de son imaginaire. » (Serge Cabrol, Encres Vagabondes)

« Des contes assez noirs, qui jouent constamment avec ce mélange de réalité et d’imaginaire, qui n’hésitent pas à frôler la lisière de la folie […]. Aussi secs soient-ils, aussi rapides soient brossés ces portraits, aussi violentes soient les expériences qu’ils [les personnages] vivent, ils nous permettent d’approcher cette forme d’innocence qui semble être le fil conducteur [du livre]. » (Nikola Delescluse, L’Arrache-Cœur 574)  

« Dans ce recueil, Serge C-S nous honore d’une narration à la première personne qui ne s’embarrasse pas de tournures de phrases ampoulées […]. L’écriture se fait tantôt sobre, tantôt plus véhémente et reste très agréable à découvrir. Malgré une ou deux nouvelles plus absconses ou hallucinées, Serge Cazenave-Sarkis remplit son contrat littéraire. » (Quand le Tigre lit)