Le divin du monde par Aléric de Gans

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« Bien sûr, tout est parti dans l’air chaud de la ville. Notre jeunesse, nos chairs bien fermes, et le sourire facile de ceux qui ont du temps, tout le temps. Depuis je traîne ; il n’y a plus personne. Le métro aérien continue de rouler sur ma tête, son tac-tac en écho dans mon crâne, et Paris Fried Chicken a fermé. C’est fini. Je me souviens, on y allait de temps en temps. C’était pas mauvais — disons dégueulasse. »
 



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