Avant terme de Serge Cazenave-Sarkis

Publié le

Nouvelles noires, 106 pages
ISBN : 979-10-90106-25-3

Format 15 x 21 cm, papier bouffant ivoire, imprimé en France

 


C’est d’abord un orphelin qui ne sait pas comment vivre, puis un homme qui ne cesse de mourir et de renaître ; c’est ensuite un enfant qui a grandi trop vite, et d’autres disparus trop tôt ; ce sont enfin des voix obsédantes, des visions de cauchemar, et un artiste que l’art n’intéresse plus : le tout forme ces onze histoires singulières, récits de rencontres avortées, de morts précoces et de trajectoires interrompues, où le temps brusquement s’arrête et les souvenirs demeurent scellés par le sang et la pierre.

Dans ce nouveau recueil, Serge Cazenave-Sarkis se fait observateur féroce des êtres, disséquant la banalité du quotidien pour mettre à nu ce qu’il y a en chacun d’essentiel et de tragique. Il sonde les noirceurs les plus intimes, révèle la vérité profonde de personnages fragiles ou terrifiants, et fait émerger de ces tranches de vie mêlant le grotesque et le drame des destins tendus vers leur terme, un instant avant le basculement crucial, inattendu — irrémédiable toujours.


Teasers réalisés par Georges Morel

Vidéo 1                    Vidéo 2                    Vidéo 3
 


 

 

Format papier - 12 euros
 
Format numérique - 4 euros




« [Un recueil] mordant, et c’est sans doute cet aspect humoristique qui sauve la noirceur du texte et fait que l’on arrive à respirer dans cette plongée en apnée dans la violence du monde, que Serge Cazenave-Sarkis continue à décliner dans ses nouvelles à chute. » (Nikola Delescluse, L’Arrache-Cœur 538)
 
« Au-delà de l’émotion (presque un envoûtement) provoquée par une suite de mots soigneusement choisis, la joie et l’optimisme se sont résolument fait la malle sous la plume de SCS. […] C’est dans le pire de l’être humain que la littérature paraît le mieux s’épanouir. » (Quand le Tigre lit)
 
« La ligne éditoriale des Éditions de l’Abat-Jour est largement respectée : humour noir, incorrect et dérangeant. Un livre délicieusement mortel ! » (Sabine Lauret, Ma Bibliothèque Bleue)


« Après Hirondelle ou martinet ? et Amis imparfaits, l’auteur vous livre 11 nouvelles où l’horreur le dispute à l’humour, avec comme toujours derrière l’écriture au vitriol beaucoup d’humanité et de tendresse. » (Marianne Desroziers, Le Pandémonium Littéraire)

« En quelques pages, toute la situation se renverse : effet coup de poing de chaque nouvelle entrecoupée de belles envolées lyriques, de fragments du flux de conscience des personnages que nous croyons d’abord connaître et reconnaître dans ce qu’ils relèvent d’une universalité mais dont, peu à peu, le texte nous révèle les contrastes et les particularités, de personnalités complexes et torturées, le tout dans un crescendo d’intensité jusqu’au coup de poing final. » (Justine Coffin, L’écho scriptural)

« L’auteur dresse dans son livre des portraits de personnages bouleversants, effacés, dont la vie se révèle tragique. […] Un recueil de nouvelles attachant, facile à lire, passionnant et qui vaut la peine d’être lu. » (Gribouille Book)

« Ces onze nouvelles, incisives et cinglantes, braquent, à l’aide de l’écriture froide et analytique de Serge Cazenave-Sarkis, un néon à la lumière assassine sur les réalités de notre monde, sur ses injustices et ses hontes. Et que cela nous plaise ou non, que nous voulions lire ces accablantes nouvelles sanguinolentes ou bien que, prudes et confinés dans notre petit univers tiède, nous nous refusions à y pénétrer, à soulever le voile de la vérité macabre, nous ne pouvons dans tous les cas pas y échapper. » (Le Journal des Lettres

Présentation de chaque nouvelle (Les Chroniques de Pez)