Le chef-d’œuvre par Fabrice Marzuolo

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« Je me bousculais pour occasionner le pétillement de mes neurones et produire ainsi un récit digne de ce nom, pas de la phrase au kilomètre mais un mélange détonant de légèreté. Je n’obtenais que du vaseux, des bulles de vide dans des flaques de néant, du pétard mouillé, et tout ça à cause du Léon qui me facilitait pas l’épreuve et qui m’embrumait avec ses montées de température aussitôt qu’il croisait n’importe quoi glissé dans une jupe ! »

 



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