Sans répit par Serge Cazenave-Sarkis
« « Bel-Air » et « Sans répit », deux maisons jumelles. À une journée près je devenais l’heureux propriétaire de « Bel-Air ». Je dus me contenter de « Sans répit ». Après tout, pensai-je, quelle importance un nom… Je le changerai, voilà tout ! En plus, qu’avais-je à me plaindre, j’y gagnais sur toute la ligne, « Sans répit » était mieux exposée et surtout beaucoup moins onéreuse ! »