Père et fils par Raymond Penblanc
« C’était le premier mardi d’avril, le soir de mes douze ans, et ce soir-là papa n’était pas rentré. On l’avait attendu autour de la table, devant le gâteau encore rangé dans sa boîte, jusqu’à neuf heures, jusqu’à dix heures, sans se décider à appeler. »