Père et fils par Raymond Penblanc

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« C’était le premier mardi d’avril, le soir de mes douze ans, et ce soir-là papa n’était pas rentré. On l’avait attendu autour de la table, devant le gâteau encore rangé dans sa boîte, jusqu’à neuf heures, jusqu’à dix heures, sans se décider à appeler. » 
 

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S
<br /> À lire - relire - ou à découvrir les nouvelles de Raymond Penblanc, toutes!<br />
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R
<br /> La plupart du temps j'apprécie tes nouvelles pour leur savoir-faire romanesque et la qualité de ton style (maîtrise de la langue, vocabulaire riche), mais je dois avouer que plus je les lis, plus<br /> je me rends compte de leur académisme... j'ai parfois l'impression d'être face à un texte qui aurait pu être écrit dans les années 50 (du style André Maurois), or en tant que lecteur, ce qui<br /> m'intéresse, ce sont avant tout les auteurs qui écrivent en prenant en considération les courants artistiques qui les précèdent. Tu écris comme si ni le Nouveau Roman, ni l'autofiction, ni les<br /> théories blanchotiennes et le reste... n'avaient pas existé. Mais bon, ceci reste un jugement purement subjectif, evidemment, et qui varie selon tes textes (puisque celui que j'ai publié dans ma<br /> revue m'avait particulièrement plu et emballé).<br />
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