Les Innocents par Henri Cachau
« En ce temps-là, Vélasquez excellait dans la transcription des ragots de cour madrilène, mettait en scène des gnomes, des infantes, des bouffons, des ministres, des anges, des dominations, et démontrait par leur intermédiaire comment ce spectacle, parfois hideux, asservissait l’art pictural, notamment celui précieux du portrait… »