Impossible révolte par Jane F B-A
« Ils ont tous crié, les yeux exorbités de frayeur. Certains se sont oubliés et l’odeur de l’urine a couvert celle du papier d’Arménie. Depuis quelques mois, comme chaque matin, c’était un bonheur d’entrer dans la classe sombre et fraîche. Les murs noirs se laissaient lécher par un balai lumineux qui s’infiltrait par l’ouverture des murs en terre. »