Donostia par François Cosmos

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« Sa mère lui avait fait ses recommandations de prudence habituelles, un torchon à la main. Curieusement, plus tard, à partir de sa huitième année environ, elle cessera presque totalement de se préoccuper de ses allées et venues, non tant sans doute parce qu’elle le jugera désormais suffisamment mûri et aguerri – à sept/huit ans, on est encore un petit garçon dans ces classes des sociétés de ces régions –, qu’en raison de l’apparition soudaine de la perspective inévitable de la mort prochaine de sa mère à elle, apparition renversante, envahissante, qui deviendra rapidement obsessionnelle, quasi monomaniaque. »

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