Braquage par Fabien Miras
C’était la fin de la journée, le bureau de poste n’allait pas tarder à fermer. Garé à quelques dizaines de mètres, Pascal fumait tranquillement sa clope derrière son volant. Il savait qu’il avait tort, mais n’avait plus vraiment le choix. Enfin, c’est ce qu’il se disait, parce qu’il paraît que l’on a toujours le choix.