Jean-Valéry Martineau

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Un jour, enfant, j’ai aimé un livre. Depuis je suis à la fois polygame et fidèle dans mes amours littéraires. Malgré mon métier très prenant je garde parfois comme unique loisir le bonheur de lire et d’écrire.
Il est difficile de se décrire alors que « l’essentiel est invisible pour les yeux ». Aussi, je préfère redire les mots de mon meilleur ami, lorsqu’il m’a offert deux cadeaux : la BD du Petit Prince de Johann Sfar et cette dédicace :
« Qu’est-ce qui est blond, découvre le Monde avec des grands yeux bleus, est capable d’admirer des fleurs (de sakura) pendant des heures et a la tête dans les étoiles ? Monsieur Antoine, je vous écris car il est revenu. Il a un peu grandi et il habite en Champagne… »
Avec mes amis nous avons fondé en 2002 un carré d'écrivain : le CECRET, Carré des Ecrivains Cubistes et Rêveurs de Troyes. Mais l'éloignement des uns et des autres hors de la ville rend difficiles les réunions joyeuses et littéraires.
L’aventure de l’écriture continue néanmoins, à travers plusieurs formes.
Un vieux site, bizarre, de poésies et réflexions. Son évolution a été marquée par la noirceur lorsque j’ai perdu un être cher : http://musastrales.over-blog.org.
Et l’éternelle écriture et réécriture et rerature de mon roman : Le chrysalide pourpre. Ainsi que d’autres ébauches de romans méditant sur la condition humaine…
A quoi s’ajoute l'écriture de nouvelles, parfois primées: 1er prix 2005 et 3e prix 2007 du concours de nouvelles : Une nouvelle pour la Bonne Nouvelle de la Baume. 2e prix 2007 du concours AFAC/ du sagittaire. Une nouvelle que j’aime beaucoup pour la tendresse qui a présidé à sa conception, Le désir de Lumière, a été publiée ; une autre, fantôme de clown triste,  dans un fanzine en ligne : http://univers.chimeres.org/. Comment ne pas citer également la parution de Songeries de l’Horloger de l’Apocalypse dans l’antichambre de la Mort, en 2013, pour le concours ImaJ’nère sur ripost’Apo.



Nouvelles publiées dans la revue

     Le voleur de visages (L'Ampoule n°19, p.63-68)  


     Maudit (L'Ampoule n°21, p.79-81)