Taillefer par Antonin Crenn

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« Pour y accéder, il fallait s’écarter du chemin et prendre le petit sentier. Ce n’était pas toujours très facile de le trouver, mais Léopold Milan aurait pu y retourner les yeux fermés. Enfin, « les yeux fermés », c’était une façon de parler, parce qu’il aurait été vraiment idiot de ne pas les garder grands ouverts : si le petit sentier n’était pas si facile à trouver, c’était justement parce qu’il changeait d’allure à chaque saison, à chaque lumière. »

 



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